L'affaire Benalla,
Alexandre benalla est soupçonné de falsifications pour l'obtention d'un passeport de service.
Dans cette affaire, il y a des responsables à la tête de l'État. Soit au ministère de l'intérieur, soit au ministère des affaires étrangères.
La délivrance d'un passeport ou d'une pièce comportant le droit de porter une arme et soumise à un contrôle très pointu.
En ce qui concerne les armes de points, les gendarmes et les policiers servants dans le périmètre des personnalités de l'Élysée ou ailleurs n'ont pas besoin d'un port d'armes.
Toute personne travaillant à la sécurité à l'Élysée n'a pas le droit de porter une arme, s'il ne fait pas pas partie de la sécurité rapprochée.
Question : qui a donné l'autorisation du port d'armes à Alexandre Benalla.
Question : de quelle armurerie est sortie cette arme que porte Alexandre Benalla.
Il y a un responsable qui a donné une autorisation écrite suivant une directive de l'Élysée, ou du cabinet du ministre de l'intérieur.
Un nom pour arrêter le pot-pourri de la commission d'enquête qui prend les Français pour des cons.
Si cette arme a été gracieusement attribuée alors notre démocratie est en danger. Il faut des contre-pouvoirs et un contrôle de tous les instants pour éviter ce genre de dérapage.
La commission de contrôle qui suit cette affaire est un vrai sketch et un cirque. Pour éviter de se retrouver entre le marteau et l'enclume, on a le sentiment que l'Élysée lâche Alexandre Benalla.
L'Élysée par l'action du président de la république veut à tout prix se débarrasser du bébé et de l'eau de son bain.
La délivrance de passeports est un acte qui relève du ministère des affaires étrangères. Le ministre Monsieur le Drian était-il au courant, de la délivrance de ce passeport ou des passeports.
Tous les passeports en dehors des taupes qui travaillent en sous-marin, c'est passeport sont inconnus de l'informatique des affaires étrangères. Donc on peut chercher longtemps sur ce terrain.
Alexandre Benalla, est une pièce de l'échiquier du président Macron. Il y a un paradoxe sur la mise en route des actions en justice à as étonné de voir la lenteur de la justice à le mettre en examen et le juger.
D'autres sont passés à la trappe plus rapidement que Monsieur Benalla.
Il y a un vrai souci à se poser des questions qui ordonnent côté politique, côté élite, sur ces sujets très sensibles.
Pour certaines personnes qui ne connaissent pas les rouages et le fonctionnement des affaires de l'État, elles trouvent normal l'attribution d'un passeport diplomatique, téléphone sécurisé, dans l'appartement de fonction, d'une arme, normal pour un garde du corps. Sauf que Monsieur Benalla, des services de sécurité de l'Élysée. Il n'a aucune compétence sur les interventions que pratique le j'espère au sein des services de sécurité. Cette personne a été placée par le président de la république pour services rendus certainement au pour une compassion plus fraternelle et nous n'en savons pas plus.
Donc dans cette histoire abracadabrante où tous les ministres, les secrétaires d'État, les petits qui délèguent les pièces diplomatiques se renvoient la balle et pendant ce temps-là Alexandre Benalla se fout de tout le monde. Alors il serait de bon temps que Monsieur Benalla soit déféré devant un tribunal correctionnel pour répondre de ses dérives, mensonges, faux et usage de faux au sein de l'État français.
Le responsable de toute cette chienlit est le président de la république qui n'a pas encore eu le courage de faire le nettoyage à tous les étages.
Alors vous comprendrez que la grande réunion qui va regrouper les gilets jaunes et la plus grosse farce que Emmanuel Macron est en train de nous jouer.
Son cap sera maintenu même si il y a avis de tempête sur l'Élysée.
À la différence des autres manifestations qui ont dû lieu depuis 30 ans, les Français cette fois-ci ne laisseront pas passer leur chance pour contrer ce banquier, ce financier, l'ami du CAC 40.
À entendre Patrick Strzoda, il se dit être confronté à un comportement d'un individu fautif qui a profité de la faille des systèmes.
Alors il serait bien que Monsieur Patrick Strzoda donne sa démission, ainsi que le ministre des affaires étrangères Monsieur le Drian.
Il serait temps de prendre conscience que si l'on ne peut contrôler notre système de délivrer des passeports ou de les retirer il faut demander aux KGB de venir nous donner un coup de main.
L'affaire Benala, montre que la commission sur l'affaire n'est pas à la hauteur, les gens qui y participent sont soumis à une intense pression du président de la république.
Ces sénateurs déjà d'un âge avancé feraient mieux de partir en vacances au soleil afin de vivre le peu de jours qu'il reste et de ne pas nous montrer c'est affligeant côté plus conque moi tu meurs.
